Le Jourdain à Césarée de Philippe, aujourd'hui Baniyas,
lieu de la profession de foi et primauté de Pierre
lieu de la profession de foi et primauté de Pierre
Ô Seigneur tout-puissant
j'aimerais tant que ma voix
remplisse les voûtes de Ta cathédrale
que par amour pour Toi
mes couplets et chants
aillent et T'atteignent par-delà les étoiles
Vois, je les dépose devant Ton trône
Seigneur ! Chaque mot parle de Toi
sur Tes cimes ils cabriolent
Tu m'as épousée ô mon Roi
Tu m'as faite à Ton aune
je répète Ta propre parole
Rien ne nous sépare plus Monseigneur
de moi Tu es l'unique architecte
je suis le fruit de Ta propre vigne
Tu m'as fait jaillir de Ton cœur
telle quelle, sans filtre, en ligne directe
entends-Tu mon chant ô Maître insigne ?
En mon âme se comprime l'humanité
depuis les temps immémoriaux j'en suis
j'en ai le langage depuis le début
je participe à Ta parole de vie
depuis que Ton amie Marthe m'a changée
et à jamais mise sur le chemin de Ta venue
Il y a deux mille ans je T'ai vu en Galilée
déjà, au pied des chutes du brut Jourdain
giclant de la montagne d'un jet puissant
Je t'y ai vu au soleil prendre un bain
remplisse les voûtes de Ta cathédrale
que par amour pour Toi
mes couplets et chants
aillent et T'atteignent par-delà les étoiles
Vois, je les dépose devant Ton trône
Seigneur ! Chaque mot parle de Toi
sur Tes cimes ils cabriolent
Tu m'as épousée ô mon Roi
Tu m'as faite à Ton aune
je répète Ta propre parole
Rien ne nous sépare plus Monseigneur
de moi Tu es l'unique architecte
je suis le fruit de Ta propre vigne
Tu m'as fait jaillir de Ton cœur
telle quelle, sans filtre, en ligne directe
entends-Tu mon chant ô Maître insigne ?
En mon âme se comprime l'humanité
depuis les temps immémoriaux j'en suis
j'en ai le langage depuis le début
je participe à Ta parole de vie
depuis que Ton amie Marthe m'a changée
et à jamais mise sur le chemin de Ta venue
Il y a deux mille ans je T'ai vu en Galilée
déjà, au pied des chutes du brut Jourdain
giclant de la montagne d'un jet puissant
Je t'y ai vu au soleil prendre un bain
...La Tarasque Te connait depuis le fier passé
rien ne nous sépare, ni l'espace ni le temps !
rien ne nous sépare, ni l'espace ni le temps !
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