Pour ce qui est de la vérité il y a Toi Seigneur
puis tout autour du baragouin, bruits, médiocrités
tromperies, platitudes, veuleries
illusions, jougs, culpabilisations
Ça grimace, ça postillonne, tonne et pleure
des larmes de croco, noble posture à la télé
Vois Sire comment leur bouche trahit
la vulgarité de leurs intentions
Ça se pare de nuages de parfum car ça cocotte grave
Le nauséabond l'accompagne, le grotesque le caractérise
le laid l'attire, le maladif l'anime
la haine de soi fait de sa face un rictus
Ça éructe, gesticule, mouline, mord et bave
et plus ça remue plus ça s'enfonce dans la mouise
Culs de poule figés, bouffon leurs mimes
Sire ! Toi absent et c'est le triomphe des olibrius
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