à la vue des croix sur le Golgotha ?
As-Tu blêmi ? La sueur, la douleur
la peur, ton cœur a-t-il lâché déjà ?
Livre d'heures attribué au maître de Martainville, Paris
XVe siècle
XVe siècle
Sous les insultes et les cris et les coups
vaille que vaille, aveuglé, brisé, Tu avances
le sang coule dans Tes yeux, oreilles, sur les joues
et Tu pardonnes encore aux hommes leur ignorance
Quand les clous T'ont transpercé et fait hurler
Tu as vu la foule vociférer au pied de la croix
Là encore Ta charité a dominé et Tu as prié
pour ceux qui en riant Te rivaient sur le bois
Tu es unique Seigneur, Tu es sans pareil
Toi seul es allé au bout du bout
Et puis : tudieu Tu ressuscites ! Toi soleil
Tu as rendu caduc le pouvoir des clous
Depuis l'univers ne respire plus de la même façon
les hommes ne naissent plus comme avant
Par Ton sacrifice, par Ton immolation
Tu as à jamais mis un terme aux affres du néant
...À l'ange de feu à l'entrée du jardin d'Éden
Tu as demandé de baisser son épée
et bien sûr le chérubin aussitôt a obtempéré
pour que nous puissions y entrer à Ta suite amen
vaille que vaille, aveuglé, brisé, Tu avances
le sang coule dans Tes yeux, oreilles, sur les joues
et Tu pardonnes encore aux hommes leur ignorance
Quand les clous T'ont transpercé et fait hurler
Tu as vu la foule vociférer au pied de la croix
Là encore Ta charité a dominé et Tu as prié
pour ceux qui en riant Te rivaient sur le bois
Tu es unique Seigneur, Tu es sans pareil
Toi seul es allé au bout du bout
Et puis : tudieu Tu ressuscites ! Toi soleil
Tu as rendu caduc le pouvoir des clous
Depuis l'univers ne respire plus de la même façon
les hommes ne naissent plus comme avant
Par Ton sacrifice, par Ton immolation
Tu as à jamais mis un terme aux affres du néant
...À l'ange de feu à l'entrée du jardin d'Éden
Tu as demandé de baisser son épée
et bien sûr le chérubin aussitôt a obtempéré
pour que nous puissions y entrer à Ta suite amen
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