Seigneur Tu m'as sauvé du néant
m'as fait éviter coquins et imbéciles
depuis le berceau ma vie durant
Pourtant Tu m'as éprouvé et frappé
vers Toi j'ai crié du fond de l'abîme
J'avais beau prier, courir, m'agiter
je ne T'entendais pas ô Elohim
battre au centre droit de mon âme
forger le milieu de mon cœur
former le foyer de ma flamme
chuchoter Ton beau désir Seigneur
C'était moi la sourde, l'aveugle, la fière
de ma misère j'étais moi-même l'auteur
car Ta présence au temps de ma galère
ne peut faire de doute doux Seigneur
Tu m'as fait éviter la honte, le pire
- si je n'ai pas sombré c'est grâce à Toi
Tu conduis ma vie ô oui mon beau Sire
même au fond de l'abîme et du désarroi
Ta bonté est insondable, infinie Ta miséricorde
redoutable Ta justice, droite, adéquate
quand par-dessus tout c'est Ton amour qui déborde
la finesse de Ton intelligence qui éclate
m'as fait éviter coquins et imbéciles
depuis le berceau ma vie durant
Pourtant Tu m'as éprouvé et frappé
vers Toi j'ai crié du fond de l'abîme
J'avais beau prier, courir, m'agiter
je ne T'entendais pas ô Elohim
battre au centre droit de mon âme
forger le milieu de mon cœur
former le foyer de ma flamme
chuchoter Ton beau désir Seigneur
C'était moi la sourde, l'aveugle, la fière
de ma misère j'étais moi-même l'auteur
car Ta présence au temps de ma galère
ne peut faire de doute doux Seigneur
Tu m'as fait éviter la honte, le pire
- si je n'ai pas sombré c'est grâce à Toi
Tu conduis ma vie ô oui mon beau Sire
même au fond de l'abîme et du désarroi
Ta bonté est insondable, infinie Ta miséricorde
redoutable Ta justice, droite, adéquate
quand par-dessus tout c'est Ton amour qui déborde
la finesse de Ton intelligence qui éclate
Louis Valtat, Les rochers rouges de l'Estérel
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