mercredi 7 décembre 2016

Un carillon à chanter Toi Très-Haut


Sire, donne-moi un marteau de forge et un grand soufflet blanc
des braises à volonté, un feu, doux et incandescent

Ou encore un marteau-pilon, que je frappe les mots
les martèle, qu'ils forment un carillon pour Toi Très-Haut

Un bourdon dont le son répare les déchirures, les éventrations
Des cloches pour annoncer Ton retour parmi nous, le Roi de Sion

Une masse en velours, une fronde de douceur, la paix des braves
comme appel d'air et la brise d'un parfum exquis, suave

Avec Ton aide l'impossible est possible, Briseur de limites !
L'aveugle retrouve la vue, le boiteux bondit, les morts Tu ressuscites !

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