l'herbe renie-t-elle la pluie, l'arbre boude-t-il la sève ?
L'homme vivrait-il sans rêve
le corps tiendrait-il sans esprit, une ruche serait sans miel ?
Mon cœur battrait-il sans sang
une rose s'ouvrirait-elle sans parfum, la source nierait son origine ?
Mes rimes renonceraient-elles à leur chant
quand ma vie de Toi est un emprunt, non, un don, une offrande divine ?
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