jeudi 6 avril 2017

Sous le zénith de Ton midi


Ça y est Sire, le jour est passé, l'air et le soleil m'ont nourrie
de leurs apports, j'ai eu mille pensées, quelques bons élans, la joie
de vivre à cent pour cent ma vie sans être embarrassée

Comme il est bon de respirer sous le zénith de Ton midi
À l'oxygène Tu ajoutes une dimension, un je-ne-sais quoi
la lumière s'affine, la pesanteur s'allège de son poids grossier

Sire, si ce n'était pas vrai je n'aurais pas trouvé ces mots
À ressenti vrai parole sûre - bon sang ne saurait mentir
L'ombre de Ta main me couvre de Ta bonté en tous temps

La nuit Tu m'orientes dans le labyrinthe que le sommeil éclot
me montres l'image que j'ai de moi à bannir ou à bénir
selon - Tu me pousses en avant, m'attires, chauffes mon esprit adorant

Viendra le jour où je verrai Ta face ô très Beau
les prunelles de Tes yeux peut-être bien sourire
si je passe le seuil de Ta maison ô Flamboyant !

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