Quoi de plus beau à voir qu'une branche d'olivier
contre le bleu océan du ciel ébranlée
caressée, ballotée par un mistral léger
Quoi de plus fort à vivre qu'une prière d'adoration
formulée sans réserve ni retenue par des sons
innocents cumulant en une sorte de création ?
À sentir, quoi de plus consolant Sire que Ta présence
donner naissance aux dix mille choses et plus, cette constance
de la Création de s'équilibrer en Ton essence
Moi, je vois, neurones rincés, de cataractes délivrés
Ton amour maintenir le monde - en serait-il privé
aussi sec plus de terre, espace temps ciel s'évanouiraient
Entourée de barbons et de birbes barbares sinistres
quel bonheur Sire de T'entendre jusque dans le vent, fichtre !
tout ici-bas parle de Toi, découle de Ton registre
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